18h45: 2 billets de 100 dollars me sont donnes et Madulce est abandonnee dans un atelier. Son proprietaire qui collectione un peu les motos va l'emmener dans le campo.
J'ai decide de la laisser courir librement les grands espaces qu'elle connait deja si bien. Finalement je pense que la vie la bas en France ne lui aurait pas convenue. La separation a ete difficile bien sur, nous nous sommes embrasses et je m'en suis alle, a pied, prendre un bus, la decheance...a pied et en bus, mortelle depression!! Je pense un peu a Jean Jacques Goldman parceque je marche seul dans les rues qui se donnent et la nuit me pardonne, que mes pas qui resonnent... mes mains dans les poches, je trifouille les deux billets qui viennent tout juste du distributeur, pfffff le commun des mortels ne peut comprendre toute la valeur de Madulce.
J'ai garde sa plaque d'immatriculation en souvenir d'elle.
Hymne a Madulce:
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Mmmmh il faut que j'y reflechisse un peu mon esprit est trop trouble, j'y penserai demain en visitant le centre de Buenos Aires.
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